Site web ANSTAT | Portail Open Data | S’enregistrer | Connexion
Connexion
ARCHIVE NATIONALE DES DONNEES STATISTIQUES - COTE D'IVOIRE
  • Accueil
  • Collections
  • Catalogue de données
  • Contact
    Accueil / Catalogue de données central / CIV-INS-ENV-1998-V1.0
central

Enquête sur le Niveau de Vie des Ménages (1998)

Cote d'Ivoire
ID de référence
CIV-INS-ENV-1998-V1.0
Producteur(s)
Agence Nationale de la Statistique (Anstat)
Collections
AGENCE NATIONALE DE LA STATISTIQUE
Métadonnées
DDI/XML JSON
Créé le
Aug 11, 2023
Dernière modification
Mar 03, 2025
Consultations
2804
  • Description de l'étude
  • Description des données
  • Obtenir les microdonnées
  • Identification
  • Version
  • Périmètre
  • Couverture
  • Producteurs et sponsors
  • Echantillonnage
  • Collecte des données
  • Questionnaires
  • Traitement des données
  • Evaluation des données
  • Politique d'accès
  • Avis de non-responsabilité et droits d'auteur
  • Production de métadonnées

Identification

ID de l'enquête
CIV-INS-ENV-1998-V1.0
Titre
Enquête sur le Niveau de Vie des Ménages (1998)
Pays
Nom Code pays
COTE D'IVOIRE CIV
Type d'étude
Enquête sur les conditions de vie des ménages [hh/lsms]
Information sur la série
C'est la deuxième enquête sur les conditions de vie des ménages réalisée en Côte d'Ivoire. La série est composée de :
1. EPAM 1985 à 1988 (Enquête permanente auprès des Ménages de 1985 à 1988)
2. DSA 1993 (Enquête Prioritaire sur les Dimensions Sociales de l'Ajustement Structurelle de 1993)
3. ENV 1995 (Enquête sur le Niveau de Vie des Ménages de Côte d'Ivoire 1995).
Résumé
L'Enquête sur le Niveau de Vie des Ménages de Côte d'Ivoire est une enquête ménage qui collecte des informations socioéconomiques sur les ménages. Il couvre les domaines de la démographie, la santé, l'éducation, l'emploi, l'agriculture, l'alimentation, le logement et la pauvreté. Il porte sur les ménages de type africain qui réside sur le territoire national.

Suite à l'Enquête Permanente Auprès des Ménage de 1985 (EPAM 85), réalisée par l'Institut National de la Statistique (INS) en collaboration avec la Banque Mondiale, un seuil de pauvreté relatif de 75 000 Francs CFA par tête et par an, auquel correspondait un ratio de pauvreté P0 de 10%, a été défini.
Ce seuil de pauvreté relatif, constant en termes réels, est passé à 101 340 Francs CFA en 1993, à 144 800 Francs CFA en 1995 et à 162 800 Francs CFA en 1998. Les ratios de pauvreté correspondants étaient de 32,3% en 1993, 36,8% en 1995 et 33,6% en 1998.
Ces chiffres montrent qu'après une amplification de 268% entre 1985 et 1995, le phénomène de pauvreté au plan national a subi un fléchissement de 8,7% en 1998 (36,8% en 1995 et 33,6% en 1998). Ce fléchissement est imputable à une réduction très sensible du ratio de pauvreté, qui est passé :
• en Forêt Rurale Ouest de 50,1% en 1995 à 24,5% en 1998, soit une baisse de 51% et,
• à Abidjan, de 20,2% à 11,1%, soit une variation de (-45%).
Cependant, on note une dégradation de la situation de :
• 18,2% dans les Autres Villes avec des quotients de pauvreté de 28,6% en 1995 et de 33,8% en 1998 ;
• 13,7% en forêt rurale où l'incidence de la pauvreté était de 41% en 1995 contre 6,6% en 1998 ;
• 10,5% en Savane Rurale avec des ratios respectifs de 49,4% et 54,6%.
La contribution des régions à la pauvreté nationale fait ressortir que le phénomène de la pauvreté en Côte d'Ivoire, essentiellement rural du fait que 87% des pauvres vivaient en milieu rural en 1985 contre 74% en 1993, 73% en 1995 et 69% en 1998, se développe plus rapidement en ville.
Au niveau du groupe socio-économique du chef de ménage, le constat est qu'en 1998, plus d'une personne vivant sous la responsabilité d'un agriculteur de vivrier sur deux était pauvre (50,6%) et plus de 4 individus sur 10 dans un ménage d'agriculteur de produits d'exportation sur 10 étaient pauvres (45,1%).
De plus, la contribution cumulée des pauvres de ces deux catégories de ménages à la pauvreté nationale était 60,7% en 1998 contre 68,6% en 1993 et 66,4% en 1995.
Pour une taille nationale moyenne totale de 5,5 personnes en 1995 et de 5,7 en 1998, le ménage pauvre comportait 7,3 personnes en 1995 et 8,1 en 1998.
Malgré une différence non significative, la pauvreté frappait plus d'hommes (37,0%) que de femmes (36,6%) en 1995. En 1998, 33,3% d'hommes étaient pauvres contre 33,8% de femmes.
Le ratio de pauvreté est en général plus élevé chez les individus appartenant aux ménages dont le chef est un étranger que chez ceux dont le chef est un Ivoirien :
• en 1993, le ratio de pauvreté, au plan national; était de 31,3% pour les ménages dont le chef est un Ivoirien et de 35,4% pour ceux dont le chef est un étranger ;
• en 1995, il était respectivement 35,2% et 44,7% ;
• en 1998, il y avait 33,4% de pauvres dans les ménages dont le chef est un Ivoirien et 34,3%% dans ceux des étrangers.
Par type logement, les résultats montrent que
• 71% des pauvres d'Abidjan logeaient dans les cours communes en 1993 contre 65% en 1995 et 45% en 1998. dans les bidonvilles. Il faut cependant nuancer cette forte présence de pauvres dans ce genre de logement par le fait que le ratio de pauvreté y était plus faible que dans d'autres types : 7% en 1993 contre 25% dans les cases et maisons en banco ; 28% en 1995 contre 100% dans les cases et maisons en banco et 41% dans les bidonvilles ; 11% en 1998 contre 40% dans les cases et maisons en banco ;
• dans les Autres Villes, la contribution à la pauvreté nationale par les habitants des cours communes était de 68% en 1993 pour un ratio de pauvreté non négligeable de 35%, soit plus du tiers de l'effectif de cette catégorie. Mais, ce ratio demeure faible comparativement à celui des habitants des cases et maisons en banco sont pauvres. (50%). En 1995, 57% des pauvres habitaient des cours communes avec un taux de pauvreté de 25% ; 27% des pauvres, au cours de cette année 1995, vivaient dans des cases et maisons en banco et affichaient un très fort quotient de pauvreté de 75%. En 1998, plus de 4 habitants des cours communes des Autres Villes sur 10 (39,7%) étaient pauvres et leur contribution à la pauvreté nationale était de 56%.
• en milieu rural : 69% des pauvres de la Forêt Rurale Est étaient dans les cases et maisons en banco en 1993, contre 79% en Forêt Rurale Ouest et 70% en Savane Rurale cases et maisons en banco; cette contribution était respectivement de 72%, 69% et 45% en 1995 et, 61%, 52% 64% en 1998. Par rapport au statut d'occupation, il ressort que la pauvreté est plus présente dans les ménages propriétaires des logements à cause de l’importance numérique de leurs membres dans la population totale (61% de la population nationale et près de 80% de la population rurale en 1993, 1995 et 1998). Il faut également ajouter à cette importance numérique le fait que le statut de propriétaire n'est pas forcément un facteur d'aisance en milieu rural. Ainsi, le constat qui se dégage est que :
• indépendamment de l'année, plus de 7 pauvres sur 10, en Côte d'Ivoire, habitaient des logements appartenant aux ménages et plus de 2 personnes sur 10 sont en en général pauvres. La contribution à l'extrême pauvreté est également supérieure à 70% ;
• plus du tiers des logés par les familles était pauvre, 35% en 1993 et 38% en 1995,ccontre un peu plus du quart (26%) en 1998 ;
• à Abidjan, plus de 7 pauvres sur 10 se rencontraient dans les ménages de locataires (70%) en 1993 et (72%) en 1995, contre plus 5 pauvres sur 10 (52%) en 1998. Au cours de cette même année 1998, plus de 4 pauvres sur 10 étaient membres de ménages propriétaires ;
• dans les Autres Villes, plus de 4 pauvres sur 10 appartenaient à des ménages de propriétaires : 53% en 1993, 40% en 1995 et 50% en 1998, et les ratios sont respectivement de 39%, 32% et 42%. 3 pauvres ou plus sur 10 se comptaient parmi ceux des ménages de locataires.
Le taux d'alphabétisation des adultes de 15 ans et plus laisse apparaître des caractéristiques différentes en fonction de la strate. En 1995, il ressort que :
• à Abidjan, près de 6 personnes pauvres de 15 ans et plus sur 10 étaient alphabétisées. Le taux était de 7 hommes pauvres sur 10 et de moins de 5 femmes pauvres sur 10 (47,3%) ;
• dans les Autres Villes où le taux d'alphabétisation des adultes était de 49,3%, soit à peu près 1 personne pauvre sur 2, plus de 3 hommes pauvres sur 5 sont alphabétisés contre moins de 2 femmes sur 5.;
• dans le milieu rural, les taux sont très faibles : moins de 30% en Forêt Rurale Est (28,7%) et 34,1% Forêt Rurale Ouest, soit 1 personne pauvre sur 3, et 18,3% en Savane Rurale, ce qui correspond à moins d'une personne sur 5. Ces taux sont encore plus faibles chez les femmes : 19,2%, 24,9% et 9,8% respectivement en Forêt Rurale Est, en Forêt Rurale Ouest et en Savane ;
En 1998, le taux total d'alphabétisation des adultes pauvres à Abidjan n'était pas différent de celui de 1995 (58,1%).
Dans les Autres Villes, la situation des pauvres a connu une amélioration par rapport à 1995 avec un taux de 53,7% en 1998 contre 49,7% en 1995; selon le genre, le taux était de 69,5% chez les hommes et de 40,7% chez les femmes contre respectivement 64,3% et 36,9%.
Cette amélioration se remarque aussi en milieu rural, à l'exception de la Savane Rurale où le constat est au recul : taux total de 18,3% de pauvres en 1995 contre 13,3%, soit une baisse de 27% en 1998 ; cette baisse est de 21% chez les hommes contre 39% chez les femmes. Au plan national, le ratio de pauvreté au niveau des enfants (de 0 à 14 ans) était de 42,9% en 1995. Il était supérieur au ratio se rapportant à l'ensemble de la population (36,8%) de 16,6%. En 1998, il était de 38,5% contre 33,5% pour la population totale, soit une différence également positive de 14,6%. Ces chiffres montrent que les enfants sont plus touchés par la pauvreté que les adultes.
Type de données
Données échantillonées [ssd]
Unité d'analyse
Ménages et indivus de type africain résidant sur le territoire national.

Version

Description de la version
Version 1.0 : Archivage des documents de l'ENV 1998.
Date de la version
2009-10-27

Périmètre

Notes
Santé, éducation, emploi, agriculture, alimentation, revenu, dépenses, logement, pauvreté.
Thèmes
Thème
Pauvreté
Santé
Education
Emploi
Agriculture
Consommation alimentaire
Migraption
Revenu des ménages
Mots-clés
Mot-clé
Pauvreté
Condition de vie des ménages

Couverture

Couverture géographique
L'enquête est représentative pour le milieu urbain et rural des 10 pôles de développement et de la ville d'Abidjan.
Unité géographique
Pôle de développement et le milieu urbain et rural.
Univers
Ensemble des ménages de type africain résident en Côte d'Ivoire.

Producteurs et sponsors

Enquêteurs principaux
Nom Affiliation
Agence Nationale de la Statistique (Anstat) Ministère du Plan et du Développement
Agence de financement/sponsor
Nom Abréviation
Etat de Côte d'Ivoire RCI
Union Européenne UE
Banque Mondiale BM

Echantillonnage

Procédure d'échantillonnage
Le plan de sondage

L'Enquête sur le Niveau de Vie couvre un échantillon de 4 200 ménages. L'utilisation d'un échantillon de cette taille permet :

- une représentativité à l'échelle nationale et dans chacune des 5 strates d'analyse (Abidjan, Autres Villes, Forêt Rurale Est, Forêt Rurale Ouest et Savane Rurale).


L'objectif de cette enquête est de faire des comparaisons avec les résultats de l'Enquête Prioritaire 1993 et de l'Enquête sur le Niveau de Vie 1995.

1. Au premier degré :

210 grappes ont été choisies au hasard à partir du fichier du RGPH 88, mis à jour lors de la RLE 93-95.


2. Au second degré:

- Les ménages, de chaque grappe tirée, sont dénombrés.

- A l'issue du dénombrement, 20 ménages sont tirés au hasard dans chaque grappe.
Ecarts par rapport au plan d'échantillonnage
Aucun
Taux de réponse
100%
Pondération
La pondération est l'inverse de la probabilité d'inclusion dans l'échantillon.

Collecte des données

Mode de collecte de données
Interview face à face [f2f]
Supervision
Le superviseur est le seul représentant de l'équipe d'encadrement au niveau de l'Antenne. Afin de s'assurer de la qualité du travail des enquêteurs, il effectue sur le terrain les opérations suivantes :

1.. Il examine dans les détails tous les questionnaires que les enquêteurs ont remplis pour s'assurer que le travail a été correctement et entièrement effectué.

2.. Il rend visite d'une façon aléatoire à certains des ménages que les enquêteurs ont déjà interviewés afin de s'assurer qu'ils se sont êtes rendu aux bonnes adresses. Dans ces ménages il posera à nouveau certaines questions pour vérifier que les réponses enregistrées sur le questionnaire sont correctes.

3.. Le superviseur assiste à une ou plusieurs des interviews menées par les enquêteurs chaque semaine pour évaluer leur façon de poser les questions.

4.. Il s'entretient avec les enquêteurs chaque jour afin de parler du travail qu'ils ont fait. Il fait un rapport régulier à la direction sur leur travail de terrain.

Le superviseur est le lien entre les enquêteurs et les responsables de l'enquête. Autant il leur transmet les instructions, autant ils doivent l'informer de tout problème ou de toute difficulté qu'ils peuvent rencontrer. Si, par exemple ils ne comprennent pas une procédure donnée ou le sens d'une question du questionnaire, ils doivent demander conseil au superviseur.
Notes sur la collecte de données
L'Enquête Prioritaire est menée par une équipe d'encadrement, dix équipes de collecte et de saisie des informations basées dans six des dix Antennes Régionales de la Statistique.

Ainsi nous avons :

- quatre équipes à abidjan,

- deux équipes à Bouaké,

- une équipe dans chacune des antennes d'Abengourou, Daloa, Korhogo et Man.

Chaque équipe de collecte dispose d'un micro-ordinateur pour la saisie immédiate des questionnaires remplis.

L'Equipe d'Encadrement comprend huit membres :

- le Directeur National du Projet qui est responsable des aspects administratifs.

- le Chef de Projet qui est chargé de l'administration et de la définition des grandes orientations de l'enquête, il anime l'équipe, ordonne les dépenses et prend les contacts nécessaires à la bonne marche du projet. Il est chargé de trouver des solutions rapides et appropriées aux différents problèmes techniques et matériels.

- le Responsable chargé de l'Analyse des Résultats, qui dirige les travaux d'analyse et définit, avec le chef de projet, la politique de diffusion des différentes études effectuées et les dispositions à prendre pour les futures enquêtes du programme. Il assure la liaison avec les membres du Comité Interministériel de Suivi et de Ressources Humaines créé dans le cadre du projet DSA.

- le Responsable Informatique du Projet qui s'occupe de la conception du logiciel de saisie et aussi des programmes de traitement des données sur micro-ordinateur. Il veille à l'application des consignes données aux superviseurs et aux opérateurs de saisie en matière de gestion des programmes et aussi d'utilisation rationnelle des micro-ordinateurs.

Deux analystes-programmeurs le seconde dans sa tâche.

- trois Coordinateurs qui s'occupent de la réalisation sur terrain de l'enquête. Ils assurent la liaison avec les équipes d'enquête, veillent à l'application des consignes données quant au remplissage du questionnaire en effectuant des missions de contrôle permanentes. Ils doivent trouver des solutions rapides et appropriées aux différents problèmes de terrain.

Chacune des dix équipes de collecte et de saisie des données comprend six membres:

- le Superviseur qui est chef d'équipe et chargé de suivre, de contrôler et de corriger le travail de chacun des trois enquêteurs et de l'opératrice de saisie dont il a la responsabilité. Il est aussi chargé de la gestion des équipements, véhicules et fonds de l'équipe. Il est le représentant de l'Equipe d'Encadrement au niveau de l'Antenne;

- les trois Enquêteurs devant interviewer au total 120 ménages dans un délai de 40 jours;

- l'Opérateur de Saisie chargé de la saisie, sur micro-ordinateur, des données collectées;

- et le Chauffeur, chargé de transporter les membres de l'équipe (superviseur et enquêteurs) entre l'Antenne et les lieux d'enquête.
Collecteurs de données
Nom Abréviation Affiliation
Institut National de la Statistique INS Ministère d'Etat, Ministère du Plan et du développement

Questionnaires

Questionnaires
Le questionnaire pour cette Enquête sur le Niveau de Vie suit étroitement celui de l'enquête prioritaire. Il comporte neuf (9) sections numérotées de 0 à 8 :

- 0. le signalétique qui comprend 2 volets :

* le 1er volet donnant la durée de l'interview, l'adresse géographique du ménage, et des informations rapides sur le chef.

* le 2ème volet comprenant des renseignements sur le chef ou la personne responsable pour les déclarations importantes et la langue utilisée lors de l'interview.

- 1. Composition du ménage

- 2. Logement et équipement

- 3. Agriculture et élevage
3A. Élevage (bétail, volaille)
3B. Agriculture, pêche et chasse

- 4. Entreprises non agricoles
4A. Informations générales
4B. Détails sur les entreprises qui contribuent au revenu du ménage.

- 5. Dépenses du ménage.
5A. Dépenses scolaires
5B. Dépenses de santé au cours des 3 derniers mois
5C. Habillements
5D. Dépenses d'entretien et de loisirs
5E. Transferts et impôts au cours des 12 derniers mois
5F. Remboursements des dettes du ménage
5G. Transports et communications pour tous les membres
5H et 5I. Aliments essentiels

- 6. Ressources complémentaires

- 7. Propriétés et avoirs des membres du ménage
7A. Propriété et terre
7B. Avoirs des ménages

- 8. Difficultés rencontrées par les ménages (pour faire face à leurs besoins de consommation)

8A: Les postes de consommation qui posent des problèmes
8B: Inventaire des motifs
8C: Les stratégies

Traitement des données

Edition des données
Plusieurs méthodes ont été utilisées pour l'apurement des données. D'abord concernant les dépenses des ménages, les valeurs aberrantes ont été corrigées en consultant l'information du questionnaire du ménage avec comme hypothèse qu'il s'agit d'une erreur de saisie.

Evaluation des données

Estimations de l'erreur d'échantillonnage
L'erreur type peut être calculée à l'aide des logiciels statistiques en utilisant les éléments du plan de sondage comme suit : strate (REGION MILIEU) psu(grappe) pondération (pond).
Evaluation des données
Le plan de sondage a prévu de remplacer les ménages indisponibles pour l'interview. Ainsi, le taux de remplacement a été de 4% des ménages tirés.

Politique d'accès

Contacts
Nom Affiliation Email URL
Institut National de la Statistique Ministère d'Etat Ministère du Plan et du Développement statistique@aviso.ci www.ins.ci
Confidentialité
A voir ultérieurement.
Conditions d'accès
Adresser un corrier officiel au Directeur Général de l'INS.
Exigences de citation
CLCP & INS, ENV 1998, Ministère du plan et du développement Cellule de lutte contre la pauvreté et l'Institut National de la Statistique, Enquête sur le Niveau de vie des Ménages de Côte d'Ivoire 1998, Version 1.0, Côte d'Ivoire.
Autorisation d'accès
Nom Affiliation Email URL
Institut National de la Statistique Ministère du plan et du développement ins_ci@yahoo.fr www.ins.ci

Avis de non-responsabilité et droits d'auteur

Clause de non-responsabilité
L'utilisation des présentes données pour toute étude n'engage pas l'INS mais les auteurs.
Droits d'auteur
A voir ultérieurement

Production de métadonnées

Identifiant du document DDI
N°1.0
Producteurs
Nom Abréviation Affiliation Rôle
INSTITUT NATIONAL DE LA STATISTIQUE INS MINISTERE D'ETAT, MINISTERE DU PLAN ET DU DEVELOPPEMENT CONCEPTION ET EXECUTION
Date de production des métadonnées
2009-10-29
Version du document DDI
IL s'agit de la version 1.0
Revenir au catalogue
ARCHIVE NATIONALE DES DONNEES STATISTIQUES - COTE D'IVOIRE

© ARCHIVE NATIONALE DES DONNEES STATISTIQUES - COTE D'IVOIRE, All Rights Reserved.